Joshua Olivetti « What we are now, we were once... » | Sujet: You know enough to play the game - Joshy-Josh' Lun 18 Juil - 18:22 | |
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EN COURS
| | with Rachele D'Aquino __________________________ "Rome n'a point de lois que tu n'oses briser." ▬ ‘’Il y avait un portrait. Un portrait de moi. Que la mère de Rachele avait effectué en suivant les indications de cette dernière, presque morte à l’âge de dix-sept ans. Les médecins disaient qu’elle s’était sûrement raccrochée à quelque chose dans son inconscience, que pendant les quelques secondes où elle fut morte sur la table d’opération, mon visage lui était apparu pour lui rappeler de rester en vie. Qu’elle me retrouverait, un jour. Qu’est-ce que ça veut dire ? Je n’en sais absolument rien. Je ne sais même pas si ça a un véritable sens. Tout ce que je vois, c’est un tas de questions qui ne fait que s’épaissir sans qu’aucune réponse claire ne soit jamais apportée.’’ |
| | with Julian & Rachele D'Aquino, Thybalt Andreotti, Tosca Dal Capello, Bruna Dell'Abizzi __________________________ "Let's get it started, dude !" ▬ "Tout en marmonnant, il remarqua une tâche de sang sur le mur – son propre sang, qui venez de son nez que Julian venait vraisemblablement de casser. « Et voilà, ça aussi, ça va encore être de ma faute… » D’une main, il ressortit son pinceau de sa veste ainsi que quelques tubes de peintures, qu’il disposa tout autour de lui, sans s’arrêter de râler. « Et puis nia nia nia, Josh il sait pas ce que c’est que le manque, nia nia nia, Josh c’est un abruti, nia nia nia, Josh il est trop méchant, nia nia nia, Josh il fait des jolis dessins sur Angelica… » Il se servit du sol comme palette de peinture, et se mit aussitôt à peindre autour de la tâche de sang, pour que « ça fasse plus joli ». Une fleur, tout d’abord, puis un papillon, un poney qui faisait un caca papillon, un arc-en-ciel qui les dominait, et puis une jolie petite maison, et… « Et là, voilà, c’est Julian. » Il dessina un simple bonhomme bâton avec trois cheveux sur la tête et une bouche qui montrait qu’il n’était pas content, et écrivit un "traitre" au bout de la flèche qui le dessinait." |
TERMINES
| | with Julian D'Aquino __________________________ "T'es vraiment trop con pour qu'on t'insulte !" ▬ "Pas de temps à perdre avec un gueux dans son genre, hein ? Et qu’était-il en train de faire, là, au juste ? Commander deux whisky au bar, exactement. Pour lui et l’autre énergumène, oui oui. Assez étrange ce type. Mais finalement, il n’était pas méchant. Il recherchait juste un peu de compagnie. Et Josh s’était précisément trouvé sur son chemin. Enfin, Nora s’était trouvée sur son chemin, et Josh avait été juste derrière, mais ça revenait au même. Chancelant un peu, à la manière de Jack Sparrow (en beaucoup moins classe, je vous l’accorde, surtout qu’il était loin d’être à bord du Black Pearl, mais dans un bar bondé en plein milieu de Vérone), il parvint tant bien que mal à retrouver la table où Julian et lui avaient élu domicile un peu plus tôt." |
| | with Rachele D'Aquino __________________________ "Je préfère rêver ma vie à être un oiseau plutôt que de la perdre à rêver que j'ai des ailes" ▬ "Il toussa, toussa et toussa encore à plusieurs reprises, mais ça empira lorsqu’il s’aperçut que Rachele continuait de parler, alors qu’il était visiblement en train de s’étouffer à quelques dizaines de centimètres d’elle. « Je crois pas aux conneries comme le destin, et tous ces trucs-là, d’accord ? » C’était plutôt une bonne nouvelle parce que lui non plus, habituellement. Mais là, il le voyait bien venir son destin, pour le coup. « Ça ne change rien aux faits : je rêve de toi, et visiblement, il se passe quelque chose entre nous deux. » Oui, oui, il était également d’accord sur le principe, mais leur histoire risquait de s’achever bien plus tôt que prévu s’il continuait à ne pas pouvoir respirer." |
| | with Rachele D'Aquino __________________________ "Love is pain" ▬ "Et puis c’est là, lorsqu’elle brandit cette médaille devant vos yeux, c’est là que vous ressentez quelque chose de complètement différent. Vous vous noyez dans ses paroles, vous n’entendez vaguement que quelques mots qui retiennent votre attention pendant un centième de seconde, sa voix n’est plus qu’une musique qui vous berce, qui vous envoûte, exactement comme cette chaleur qui vient de s’emparer de vous. Vous n’avez plus peur de vous faire arracher les yeux ni d’être assommer par un vase, non, vous vous sentez carrément invincible. Vous ne vous sentez plus du tout mal à l’aise, bien au contraire, et vous êtes même prêt à suivre les murmures de votre for intérieur, la prendre dans vos bras, suivre votre instinct qui vous dicte d’emprisonner sa colère entre vos lèvres." |
PREVUS
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